INTERVENANTS
Francesco Bracci
The main source of interest in his work is to generate new interrelations in the spaces, by implement structures that propitiate a direct dialog with the public.
Most of these projects works as modular prototypes that are constructed from a conscious study of the climatological conditions of the site and the sociocultural context in which they are located.
The starting point in his proposal is the unlimited possibility that exists in waste material, for three fundamental reasons: the low or non-existent cost, the facility to access this resources and the evident-current need not to use as far as possible raw or virgin materials.
His research process explores different levels and scales:
1. The production of urban prototypes located in public spaces, usually in areas with high pedestrian traffic, also proposals for festivals of massive assistance, like FIA (Internacional art Festival in Costa Rica: 2006, 2008, 2010, 2011, 2014, 2015), Valoarte (2008, 2009, 2010, 2012, 2013).
2. Participation in conferences and exhibits ( gallery, museums) to show the processes involved in the construction of the prototypes: Latin-American biennial of design ( Madrid, Spain , Prize in the category of design), TEDX, Students' meeting of Architecture (Ecuador), Photography contest : professions of the world ( Paris, France, Prize: finalist), Museum ExTeresa Arte Actual ( México DF), Biennial show of Visual Arts Central America.
3. Creation of Interactive Platforms: Models of Interaction for the scenic arts, joint production and creation of Taxi Colectivo (visual arts - scenic arts).
"Enriching public space : the art of recycling"
The idea of the presentation is to show how through the use of material considered ¨waste¨ is possible to activate public spaces and obtain new social dynamics.
With this purpose, he will expose the development of several projects, he had produced in the urban space during the last 10 years. This will be done in a chronological form so we can understand better the links between one project and the other and which have been the learnings obtanined from these experiences.
The main source of interest in his work is to generate new interrelations in the spaces, by implement structures that propitiate a direct dialog with the public.
Most of these projects works as modular prototypes that are constructed from a conscious study of the climatological conditions of the site and the sociocultural context in which they are located.
The starting point in his proposal is the unlimited possibility that exists in waste material, for three fundamental reasons: the low or non-existent cost, the facility to access this resources and the evident-current need not to use as far as possible raw or virgin materials.
His research process explores different levels and scales:
1. The production of urban prototypes located in public spaces, usually in areas with high pedestrian traffic, also proposals for festivals of massive assistance, like FIA (Internacional art Festival in Costa Rica: 2006, 2008, 2010, 2011, 2014, 2015), Valoarte (2008, 2009, 2010, 2012, 2013).
2. Participation in conferences and exhibits ( gallery, museums) to show the processes involved in the construction of the prototypes: Latin-American biennial of design ( Madrid, Spain , Prize in the category of design), TEDX, Students' meeting of Architecture (Ecuador), Photography contest : professions of the world ( Paris, France, Prize: finalist), Museum ExTeresa Arte Actual ( México DF), Biennial show of Visual Arts Central America.
3. Creation of Interactive Platforms: Models of Interaction for the scenic arts, joint production and creation of Taxi Colectivo (visual arts - scenic arts).
"Enriching public space : the art of recycling"
The idea of the presentation is to show how through the use of material considered ¨waste¨ is possible to activate public spaces and obtain new social dynamics.
With this purpose, he will expose the development of several projects, he had produced in the urban space during the last 10 years. This will be done in a chronological form so we can understand better the links between one project and the other and which have been the learnings obtanined from these experiences.
Gerald Emile Brun M Arch. (Aby), Architecte Urbaniste
A près de quarante années d’expérience dans le secteur de la Construction et en Aménagement du Territoire. Né le 21 décembre 1947, après ses études à St Louis de Gonzague, il poursuivit ses études universitaires à Columbia University (New York, USA) où il obtint un BS en Génie Électrique (’71) et un Master en Architecture (’75). Reconnu par le Ministère de l’Éducation Nationale, il a été homologué par la Faculté des Sciences de l’Université d’Etat d’Haïti en 1976, est enregistré au CNIAH aux nos 038 et 039 et détient une patente professionnelle en Haïti.
Il est Vice-président de la TECINA S.A., Président Directeur Général de NABATEC S.A., Président a.i. de l’Association Haïtienne des Architectes et des Urbanistes (ASSHAU), Membre fondateur du Groupe d’Initiative des Professionnels de l’Aménagement du Territoire (GIPAT), et Président de l’Association Syndicale des Propriétaires et Promoteurs Immobiliers de la Zone Nord de Port-au-Prince (ASPPIN). Il a été Vice-président du Collège National des Ingénieurs et Architectes Haïtiens (CNIAH) de 1986 à 1988 et de 2011 à 2014. M. Brun est actuellement Président du CNIAH.
Il a représenté Haïti au XXème congrès de l’Union Panaméricaine des Ingénieurs (UPADI). Il a été membre de la Commission Présidentielle sur la Compétitivité, membre de la Commission Présidentielle sur les Abris Provisoires, la Gestion des Débris et la Reconstruction, membre du Forum Économique du Secteur Privé. Il représente également les sociétés qu’il dirige dans plusieurs associations patronales (ADIH, CCIH, ATH). Bien connu dans le secteur démocratique, M. Brun préside, entre autres, le Conseil de Direction d’une organisation de défense des droits humains, IMED (Institut Mobile d’Education Démocratique) et est Médiateur certifié à la Chambre de Conciliation et d’Arbitrage d’Haïti (CCAH).
Architecte Urbaniste, M. Brun, en temps que Directeur des Opérations d’Architecture et d’Urbanisme de TECINA S.A. a à son actif plus d’une centaine de réalisations dans le bâtiment et l’urbanisation (Clos de la Source, Xeos, Immeuble 2004, Belvil, Village TECINA, Charrier Village, Place du Canapé Vert, entre autres). Il a dirigé de multiples études sectorielles financées par l’international (PNUD, IDA, B. Mondiale), été consultant pour la Banque Mondiale sur l’Afrique de l’Est et animé plusieurs congrès, séminaires et tables rondes tant en Haïti qu’à l’extérieur sur l’habitat et l’urbanisme au cours des 30 dernières années. Son principal projet actuel est « Haïti 2020 Habitat », Projet de Développement Urbain Intégré, ci-devant « Habitat Haïti 2004 » de NABATEC S.A.
Quand il lui reste un peu de temps de loisirs, l’Architecte Aby Brun s’échappe vers le monde de la guitare classique ou du piano, et dépense son reste d’énergie sur les courts de tennis, ou en balançant son « wok », certains dimanches, pour cuisiner des plats chinois au plaisir de son épouse de 44 ans, de ses quatre enfants adultes professionnels et de ses cinq espiègles petits enfants. Œnologue et boulanger amateur, il aime partager une bonne bouteille de vin et du bon pain au diner avec les parents et amis.
A près de quarante années d’expérience dans le secteur de la Construction et en Aménagement du Territoire. Né le 21 décembre 1947, après ses études à St Louis de Gonzague, il poursuivit ses études universitaires à Columbia University (New York, USA) où il obtint un BS en Génie Électrique (’71) et un Master en Architecture (’75). Reconnu par le Ministère de l’Éducation Nationale, il a été homologué par la Faculté des Sciences de l’Université d’Etat d’Haïti en 1976, est enregistré au CNIAH aux nos 038 et 039 et détient une patente professionnelle en Haïti.
Il est Vice-président de la TECINA S.A., Président Directeur Général de NABATEC S.A., Président a.i. de l’Association Haïtienne des Architectes et des Urbanistes (ASSHAU), Membre fondateur du Groupe d’Initiative des Professionnels de l’Aménagement du Territoire (GIPAT), et Président de l’Association Syndicale des Propriétaires et Promoteurs Immobiliers de la Zone Nord de Port-au-Prince (ASPPIN). Il a été Vice-président du Collège National des Ingénieurs et Architectes Haïtiens (CNIAH) de 1986 à 1988 et de 2011 à 2014. M. Brun est actuellement Président du CNIAH.
Il a représenté Haïti au XXème congrès de l’Union Panaméricaine des Ingénieurs (UPADI). Il a été membre de la Commission Présidentielle sur la Compétitivité, membre de la Commission Présidentielle sur les Abris Provisoires, la Gestion des Débris et la Reconstruction, membre du Forum Économique du Secteur Privé. Il représente également les sociétés qu’il dirige dans plusieurs associations patronales (ADIH, CCIH, ATH). Bien connu dans le secteur démocratique, M. Brun préside, entre autres, le Conseil de Direction d’une organisation de défense des droits humains, IMED (Institut Mobile d’Education Démocratique) et est Médiateur certifié à la Chambre de Conciliation et d’Arbitrage d’Haïti (CCAH).
Architecte Urbaniste, M. Brun, en temps que Directeur des Opérations d’Architecture et d’Urbanisme de TECINA S.A. a à son actif plus d’une centaine de réalisations dans le bâtiment et l’urbanisation (Clos de la Source, Xeos, Immeuble 2004, Belvil, Village TECINA, Charrier Village, Place du Canapé Vert, entre autres). Il a dirigé de multiples études sectorielles financées par l’international (PNUD, IDA, B. Mondiale), été consultant pour la Banque Mondiale sur l’Afrique de l’Est et animé plusieurs congrès, séminaires et tables rondes tant en Haïti qu’à l’extérieur sur l’habitat et l’urbanisme au cours des 30 dernières années. Son principal projet actuel est « Haïti 2020 Habitat », Projet de Développement Urbain Intégré, ci-devant « Habitat Haïti 2004 » de NABATEC S.A.
Quand il lui reste un peu de temps de loisirs, l’Architecte Aby Brun s’échappe vers le monde de la guitare classique ou du piano, et dépense son reste d’énergie sur les courts de tennis, ou en balançant son « wok », certains dimanches, pour cuisiner des plats chinois au plaisir de son épouse de 44 ans, de ses quatre enfants adultes professionnels et de ses cinq espiègles petits enfants. Œnologue et boulanger amateur, il aime partager une bonne bouteille de vin et du bon pain au diner avec les parents et amis.
ir Sofia Saavedra Bruno
ir Sofia Saavedra Bruno M.A , (Louvain,1972) runs CASarchitects www.casarchitects.org with Prof ir Carel Weeber at Curaçao, Netherlands Antilles. She graduated as an architectural civil engineer from the University of Ghent, Belgium (1995) and earned a Master’s degree from the Berlage Institute in Amsterdam (1996–1997). She worked on several architectural and urban projects in the Dutch architectural offices de Architekten Cie and One Architecture (1998-2003) as Bouwfonds MAB development in the Hague & Paris (2003-2005). She currently is Scientific Associate at the Faculty of Engineering at the University of Curacao, where she coordinates community development projects. She lectured on several international congresses at the 2012 conference on social innovation and design in Medellin and most recently the Slocum Hall at the School of Architecture, Syracuse University,USA and the architecture biennial in Sao Paolo, Brazil (2013). She published the book "Urbanism and Architecture in Chiquitos. Pragmatic translation of European Principles to the Jesuit missions in Latin America” (Santillana 2000) and is currently undertaking a PhD on the subject of the resilient cruise destination. She chairs Docomomo Curaçao www.docomomocuracao.org and a is founding member of Supersudaca: www.supersudaca.org.
Supersudaca is a network of architects formed in Rotterdam in 2001. Its nodes are based in Argentina, Belgium, Chile, Curacao, Netherlands, Peru and Uruguay. Supersudaca has made a profile that is increasingly diverse in subjects affecting our environment. Caribbean Tourism, China's influence, Direct Actions in public space, Collective Housing are some of its recurrent themes explored from Tokyo to Talca, from Cancun to Cambodia. Supersudaca was recognized with the best entry award at the II International Biennale of Rotterdam (2005), the best research project at the IV Bienal Iberoamericana (2004) and ‘among the 20 architects that will change the future’ by Icon Magazine (2009). In the design realm, Supersudaca has obtained first prize in the international competitions for the experimental social housing project in Ceuta, Spain (2006) and the Museum of Modern Art of Medellin (2010). They are now currently working on a book on the spatial consequences of all inclusive tourism in the Caribbean with ACTAR and the Prins Claus Fund.
ir Sofia Saavedra Bruno M.A , (Louvain,1972) runs CASarchitects www.casarchitects.org with Prof ir Carel Weeber at Curaçao, Netherlands Antilles. She graduated as an architectural civil engineer from the University of Ghent, Belgium (1995) and earned a Master’s degree from the Berlage Institute in Amsterdam (1996–1997). She worked on several architectural and urban projects in the Dutch architectural offices de Architekten Cie and One Architecture (1998-2003) as Bouwfonds MAB development in the Hague & Paris (2003-2005). She currently is Scientific Associate at the Faculty of Engineering at the University of Curacao, where she coordinates community development projects. She lectured on several international congresses at the 2012 conference on social innovation and design in Medellin and most recently the Slocum Hall at the School of Architecture, Syracuse University,USA and the architecture biennial in Sao Paolo, Brazil (2013). She published the book "Urbanism and Architecture in Chiquitos. Pragmatic translation of European Principles to the Jesuit missions in Latin America” (Santillana 2000) and is currently undertaking a PhD on the subject of the resilient cruise destination. She chairs Docomomo Curaçao www.docomomocuracao.org and a is founding member of Supersudaca: www.supersudaca.org.
Supersudaca is a network of architects formed in Rotterdam in 2001. Its nodes are based in Argentina, Belgium, Chile, Curacao, Netherlands, Peru and Uruguay. Supersudaca has made a profile that is increasingly diverse in subjects affecting our environment. Caribbean Tourism, China's influence, Direct Actions in public space, Collective Housing are some of its recurrent themes explored from Tokyo to Talca, from Cancun to Cambodia. Supersudaca was recognized with the best entry award at the II International Biennale of Rotterdam (2005), the best research project at the IV Bienal Iberoamericana (2004) and ‘among the 20 architects that will change the future’ by Icon Magazine (2009). In the design realm, Supersudaca has obtained first prize in the international competitions for the experimental social housing project in Ceuta, Spain (2006) and the Museum of Modern Art of Medellin (2010). They are now currently working on a book on the spatial consequences of all inclusive tourism in the Caribbean with ACTAR and the Prins Claus Fund.
Prof. Gonzalo Lizarralde, architecte et urbaniste
Gonzalo Lizarralde est Professeur à l’École d’architecture de l’Université de Montréal. Il a été enseignant aussi à l’université McGill (Canada) à l’université du Cap (Afrique du Sud) et aux universités Javeriana et Nacional del Valle (Colombie). Il a été également conférencier invité dans plusieurs autres universités. M. Lizarralde a obtenu une bourse postdoctorale du National Research Foundation de l’Afrique du Sud. Il a aussi obtenu des subventions de recherche du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, du Centre de recherches pour le développement international, des Fonds québécois de la recherche sur la société et la culture (FQRSC), et du Gouvernement du Canada. Ses intérêts de recherche incluent : le montage et la gestion de projets d’aménagement, l’habitat en pays en voie de développement et le processus de reconstruction durable à la suite de désastres naturels. M. Lizarralde est membre fondateur du réseau international i-Rec (information et recherche pour la reconstruction). Il est directeur du Groupe de recherche IF – grif de l’Université de Montréal. Le grif étudie les processus impliqués dans le développement de projets d’aménagement. Il est également responsable de l’Observatoire universitaire de la vulnérabilité, la résilience et la reconstruction durable (Œuvre durable), financé par FQRSC. M. Lizarralde est l’auteur du livre «The Invisible Houses: Rethinking and Designing Low-Cost Housing in Developing Countries.»
Architecture invisible et influence des acteurs dans les grands projets urbains
Les grands projets urbains deviennent de plus en plus les outils privilégiés pour intervenir sur la ville contemporaine. Or, un grand nombre de processus complexes sont nécessaires pour développer ces projets urbains. Bien qu’ils impliquent toutes les parties prenantes du projet pendant les phases de réalisation, ils deviennent invisibles une fois le projet terminé. Peu de traces en restent et très peu de personnes les connaitront. Dans cette « architecture invisible » les rôles des acteurs déterminent le succès ou l’échec de la démarche.
Dans cette présentation, le Prof. Lizarralde expose les principaux enjeux de la gouvernance des grands projets urbains et compare les caractéristiques de cette gouvernance dans les contextes des pays en voie de développement et des pays développés. En soulignant les éléments clés du pouvoir, de la participation et de la responsabilité des acteurs dans les projets urbains en pays en voie de développement, les conclusions peuvent aider le processus de reconstruction en Haïti.
Gonzalo Lizarralde est Professeur à l’École d’architecture de l’Université de Montréal. Il a été enseignant aussi à l’université McGill (Canada) à l’université du Cap (Afrique du Sud) et aux universités Javeriana et Nacional del Valle (Colombie). Il a été également conférencier invité dans plusieurs autres universités. M. Lizarralde a obtenu une bourse postdoctorale du National Research Foundation de l’Afrique du Sud. Il a aussi obtenu des subventions de recherche du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, du Centre de recherches pour le développement international, des Fonds québécois de la recherche sur la société et la culture (FQRSC), et du Gouvernement du Canada. Ses intérêts de recherche incluent : le montage et la gestion de projets d’aménagement, l’habitat en pays en voie de développement et le processus de reconstruction durable à la suite de désastres naturels. M. Lizarralde est membre fondateur du réseau international i-Rec (information et recherche pour la reconstruction). Il est directeur du Groupe de recherche IF – grif de l’Université de Montréal. Le grif étudie les processus impliqués dans le développement de projets d’aménagement. Il est également responsable de l’Observatoire universitaire de la vulnérabilité, la résilience et la reconstruction durable (Œuvre durable), financé par FQRSC. M. Lizarralde est l’auteur du livre «The Invisible Houses: Rethinking and Designing Low-Cost Housing in Developing Countries.»
Architecture invisible et influence des acteurs dans les grands projets urbains
Les grands projets urbains deviennent de plus en plus les outils privilégiés pour intervenir sur la ville contemporaine. Or, un grand nombre de processus complexes sont nécessaires pour développer ces projets urbains. Bien qu’ils impliquent toutes les parties prenantes du projet pendant les phases de réalisation, ils deviennent invisibles une fois le projet terminé. Peu de traces en restent et très peu de personnes les connaitront. Dans cette « architecture invisible » les rôles des acteurs déterminent le succès ou l’échec de la démarche.
Dans cette présentation, le Prof. Lizarralde expose les principaux enjeux de la gouvernance des grands projets urbains et compare les caractéristiques de cette gouvernance dans les contextes des pays en voie de développement et des pays développés. En soulignant les éléments clés du pouvoir, de la participation et de la responsabilité des acteurs dans les projets urbains en pays en voie de développement, les conclusions peuvent aider le processus de reconstruction en Haïti.
Garry Lhérisson, architecte et urbaniste
Garry Lhérisson est architecte (Faculté des Sciences / Université d’Etat d’Haïti, 1982) détenteur d’un Diplôme d’études approfondies/DEA de l’Institut de Géographie d’Aix en Provence (Aix-Marseille II, 1987). Il a 27 années de pratique professionnelle dans l’urbain, dont 13 au Service de Planification Urbaine du Ministère des Travaux Publics Transports et Communications. Il a aussi été consultant pour les ministères de l’Environnement et du Tourisme. Il est depuis cinq ans professeur à la Faculté des Sciences. Il a une très bonne connaissance des principales villes d’Haïti et de la zone métropolitaine de Port-au-Prince en particulier.
Places publiques en Haïti, Fonctions et Evolution (Bicentenaire, Champs de Mars)
Les places publiques sont inscrites dans les villes haïtiennes depuis leur fondation pendant la période coloniale. Elles ont évoluées au fil du temps en fonction des mutations spatiales et socioéconomiques de celles-ci. Tour à tour, place du gouvernement, place d’armes, elles sont de moins en moins au centre des nouvelles réalités urbaines et se sont transformées. Elles sont à la fois, marché, terrain de sport, gare, et place.
Garry Lhérisson est architecte (Faculté des Sciences / Université d’Etat d’Haïti, 1982) détenteur d’un Diplôme d’études approfondies/DEA de l’Institut de Géographie d’Aix en Provence (Aix-Marseille II, 1987). Il a 27 années de pratique professionnelle dans l’urbain, dont 13 au Service de Planification Urbaine du Ministère des Travaux Publics Transports et Communications. Il a aussi été consultant pour les ministères de l’Environnement et du Tourisme. Il est depuis cinq ans professeur à la Faculté des Sciences. Il a une très bonne connaissance des principales villes d’Haïti et de la zone métropolitaine de Port-au-Prince en particulier.
Places publiques en Haïti, Fonctions et Evolution (Bicentenaire, Champs de Mars)
Les places publiques sont inscrites dans les villes haïtiennes depuis leur fondation pendant la période coloniale. Elles ont évoluées au fil du temps en fonction des mutations spatiales et socioéconomiques de celles-ci. Tour à tour, place du gouvernement, place d’armes, elles sont de moins en moins au centre des nouvelles réalités urbaines et se sont transformées. Elles sont à la fois, marché, terrain de sport, gare, et place.